Les copropriétés dégradées ... un axe de travail parmi tant d’autres selon l’Anah !

, par Michel Grenier

Les copropriétés dégradées : dans quelle mesure en 2014 la loi Alur pouvait-t-elle servir, et a t’elle appliquée sa promesse ?

En 2014 la ministre du Logement, Sylvia Pinel, avait demandé à l’Anah d’être partie prenante au registre des copropriétés dont le principe a été introduit par la loi Alur. Compte tenu de des missions et des relations avec les collectivités locales, il n’était pas possible que l’Anah n’en soit pas. Il faut que ce registre serve vraiment. Il renforcera d’ailleurs l’outil de détection cartographique. Autre point concernant les copropriétés : il est demandé à l’Anah de renforcer son articulation avec l’Anru(*). Un protocole d’accord a été soumis aux Ministres du Logement et de la Ville indiquant qui, de l’Anru ou de l’Anah, est chef de file selon la nature des travaux à réaliser et les occupants de la copropriété en difficulté située en zone de rénovation urbaine. Il est en tout cas certain que le nouveau programme de rénovation urbaine interviendra beaucoup plus qu’auparavant pour traiter la problématique des copropriétés dégradées.

(Extrait de l’article Le.moniteur.fr du 01/07/2014)

(*) Anru : L’Anru met en œuvre des projets de renouvellement urbain afin de transformer les conditions de vie des habitants de grand ensembles immobiliers, copropriétés comprises.

Le point de cette mesure en Avril 2020 :
Depuis cet engouement de 2014 , les copropriétés en difficulté sont prises en charge pour des travaux liés aux économies d’énergies. il devient plus facile pour ces copropriétés de pouvoir engager un programme de rénovation tant les aides sont bien présentes.
Si votre copropriété est dans ce cas faites appel à un « ensemblier » qui va vous aider dans toutes les démarches administratives auprès de l’ADEME et de l’ANAH.

La société MG BUILDING CONSULTING dispose d’une mission permettant de connaître le niveau de dégradation d’un bâtiment, l’IDB.