Le taux de sinistralité [1] augmente irrémédiablement sur les anciens immeubles d’habitation collective. En cause ; les différents désordres liés aux pathologies fonctionnelles comme accidentelles. Si l’on ne prend pas le soin de les traiter à temps, ils se traduisent par la réalisation de travaux réalisés dans l’urgence, pas toujours adaptés, mais toujours plus coûteux.
Savoir reconnaître les désordres est une science
Humidité, fuite d’eau, on agit souvent sans pour autant élucider ce désordre n° 1 dans le bâtiment, et de manière durable. Généralement, on appelle son plombier ou son étancheur, qui eux vont intervenir pour réduire le désordre et non le soigner !
Il faut adapter une méthodologie de recherche bien spécifique à chaque situation, recourir à des mesures instrumentales adaptées, et qualifier le désordre pour proposer des actions correctives durables.
Les 3 composants incriminés dans les désordres du bâtiment
L’eau est un des premiers dommages sur le bâtiment. L’humidité cause toujours des dommages importants car elle modifie les caractéristiques du fonctionnement du bâtiment de par sa protection. il faut donc connaître le comportement des matériaux en présence pour comprendre le comportement de la molécule d’eau par effet de capillarité ou d’hygroscopicité.
Mais il faut aussi connaître les mécanismes de la pénétration d’eau par les charges ascendantes et descendantes (vent, pluie, neige, ...).
L’air, un mauvais renouvellement dans le bâtiment vient aggraver les désordres liés à l’eau, la ventilation du bâtiment est souvent une composante oubliée par les professionnels (vendeurs de fenêtres, économistes, ...). ce manque de ventilation contribue à un accroissement de la condensation d’eau et des moisissures apparaissent sur les murs jusque derrière des isolants thermiques. Il faut adapter les règles thermiques en prenant en compte le niveau de renouvellement d’air à l’intérieur du bâtiment.
Le substrat ou la matière, comme le béton est un élément constitutif du bâtiment qui peut présenter des défauts à la construction, et qui va se transformer plus ou moins rapidement en présentant des pathologies fonctionnelles ou accidentelles : des fissurations apparentes ou non-visibles ou des éclatements.
Ces risques peuvent affaiblir les fondations, les murs de soutènement ; sur les façades ces pathologies vont augmenter les efflorescences d’humidité [2].
Les autres matières comme la brique, la pierre de taille, le pisé, ou autre substrat présentent aussi des désordres liés à leur composition.
Enfin le bois, matière première utilisée principalement pour fabriquer les poutres et poutrelles soutenant les couvertures de bâtiment (toitures), est un élément qui peut être dégradé très rapidement par son propre équilibre hygrométrique, une valeur trop forte va contribuer à la prolifération des insectes xylophages (la termite, ou autres insectes xylophages), mais aussi les champignons lignivores (la mérule).
Un spécialiste pour réduire les désordres
La société MG BUILDING CONSULTING est devenue un grand spécialiste du désordre dans le bâtiment. Ses méthodes de recherches et de qualification des désordres ont permis de réduire considérablement ces désordres qui affaiblissent le fonctionnement principal du bâtiment c’est à dire se protéger des agressions de l’extérieur (pluie, vent, neige, ...).
La société s’est dotée de matériels de mesures très spécifiques pour apporter un diagnostic et un bilan qui sont appropriés aux désordres observés. Elle accompagne régulièrement certains économistes ou bureaux d’études spécialisés pour compléter les programmes de travaux qui prennent en compte les désordres du bâtiment.