Si vous n’êtes pas un expert spécialiste du désordre dans le bâtiment vous ne pouvez pas déterminer et qualifier efficacement un dommage dans un bâtiment sur la présence d’une humidité persistante, si vous ne savez pas faire une différence entre une humidité relative ou degré hygrométrique [1], et une humidité hygroscopique [2].
Cette expertise ne se fait pas à l’oeil nu, même averti comme celui d’experts mandatés par des compagnies d’assurances, car l’appareil commun que tout le monde utilise, appelé, « hygromètre » est beaucoup trop basique pour établir un réel constat et établir cette différence notoire.
Un vrai spécialiste du désordre dans le bâtiment va, lui, utiliser des appareils beaucoup plus sophistiqués, et donnant des différences de lectures entre l’hygromètre qui mesure des dégrés hygrométriques, et le capteur à micro-ondes de profondeur dans le mur, qui lui va vous donner des résultats de lectures plus concrètes sur la présence ou non de l’eau dans le mur. Ces valeurs sont toujours exprimées en Digits sur des échelles définies.
Pour savoir si votre habitat est exempt de saturation en air humide, il faut connaître la teneur en vapeur d’eau en g/kg air sec :
exemple pour une température de confort de 19°C la teneur doit être d’un maximum de 13,8 g/kg ; la pression de vapeur saturante est de 16,48 Ps (en mm de mercure pour une pression de 760mm de mercure). C’est la seule méthode qui permet de calculer la véritable saturation hygrométrique dans votre habitat !!!!
QUALIFIER UNE HUMIDITE HYGROSCOPIQUE EST LE RESULTAT D’UNE METHODE EXPERTE ! |