Missions de Contrôles Non-Destructifs (CND) pour Diagnostics et bilans liés à des pathologies accidentelles ou fonctionnelles dans le bâtiment

Les missions de Contrôles Non-Destructifs pour diagnostics et bilans des désordres liés à plusieurs pathologies fonctionnelles comme accidentelles dans le bâtiment au niveau des parois opaques (murs), comme au niveau des fondations, ou des toitures apportent des hypothèses sur les désordres découverts lors des investigations et ainsi de proposer au maître d’Ouvrage des solutions permettant de remédier à toutes nouvelles pathologies pouvant générer des dégâts à l’intérieur du bâtiment.
On sait que ces désordres sont essentiellement dues à des infiltrations d’eaux pluviales, ou des fuites d’eau, qui génèrent une concentration de l’eau trop importante dans les murs par hygroscopicité.
Les risques liés à l’hygroscopicité dans les matériaux et substrats doivent amener à prendre des mesures radicales (travaux de réhabilitation) pour préserver l’intégrité des composants du cadre bâti afin de garantir un état qualitatif de l’ensemble sain et constant. [1]
La qualité de l’air ambiant est un des facteurs d’amélioration des échanges gazeux (CO² essentiellement) à l’intérieur du bâtiment. La bonne ventilation contribue à des états d’équilibres indispensables, aussi bien, pour la teneur en humidité relative, comme pour la qualité de l’air à respirer. [2]

Quelques exemples de rapports de synthèses de missions CND consultables en accès protégé et sécurisé avec vos codes personnels.

Notes

[1« L’humidité relative à l’intérieur des bâtiments doit être maintenue en dessous de la valeur qui va provoquer des moisissures dans les matériaux hygroscopiques. L’humidité relative conseillée, pour des raisons d’hygiène, va de 30 à 70 %. Des études ont montré que l’humidité relative la plus intéressante est de 50 %. Pour ces humidités relatives conseillées, la teneur en humidité à l’équilibre des matériaux hygroscopiques est suffisamment basse pour ne pas engendrer de problèmes ».

[2"A savoir que l’air à l’intérieur d’un bâtiment est en moyenne 2,5 fois plus pollué qu’à l’extérieur".